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L'AFFAIRE CLIMATIQUE, une Vérité citoyenne sur le climat
1 février 2015

L’astrophysicien et le climat

L’astrophysicien et le climat

 

De nombreuses personnes, y compris parmi celles qui sont informées sur le sujet du climat, pensent que la thèse du réchauffement climatique lié au rejet par l’Homme du CO2 est fondée, et constitue l’unanimité auprès des scientifiques.

Un site Internet Belge a déjà recensé des centaines de scientifiques apportant des arguments contraires à la thèse « officielle ».

Il est par ailleurs pour le moins curieux de constater que de nombreux scientifiques qui arrivent à l’âge de la retraite (voir plus loin), commencent à s’exprimer sur le sujet … Certainement que leur métier les obligeait à observer une certaine réserve, sous peine de devoir explorer d’autres opportunités d’emploi…

Mais quelques scientifiques parviennent tout de même à apporter des éléments essentiels mettant en contradiction la Pensée unique sur le climat.

L’un d’eux se nomme Gerard Bodifée,  il est Docteur en Sciences en Belgique et a mené des recherches dans le domaine de la formation des étoiles et de l'évolution des galaxies.

Une interview a été mise en ligne sur Belgotopia[1], et nous allons en reprendre quelques points intéressants.

Le scientifique explique que « le climat est une donnée capricieuse (…), que le système est intrinsèquement instable ». Ce qui par ailleurs l’amène à dire que « les modèles qu’on élabore aujourd’hui sont sans valeur ». En gros, le climat serait aléatoire, ce qui empêcherait toute forme de modélisation. Lorsqu’on sait que la quasi-totalité des annonces faites sur le climat sont issues de modélisations, cette affirmation a de quoi susciter le questionnement !

Il précise que « Il y a assez de spécialistes qui racontent la même chose que moi », et comme nous l’évoquions plus haut, rajoute « Aujourd’hui, celui qui veut faire carrière comme climatologue ou chercheur en quoi que ce soit, doit faire très attention à ce qu’il dit, sous peine de ne plus recevoir de subsides et d'être considéré comme un scientifique peu sérieux ». Ce point est souvent cité comme explication au silence de certains scientifiques, et au fait que lorsqu’ils sont libérés de toute contrainte, ils puissent enfin s’exprimer.

Nous avons déjà évoqué dans l’Affaire climatique et dans des billets le syndrome du « On n’a jamais vu ça ! », et le fait que certains mettent en avant la notion de normalité, par le biais « d’anomalies » dès lors que les conditions météorologiques deviennent extrême. Bodifée a une approche intéressante du sujet : « Qu’est-ce qui est extrême et qu’est-ce qui est normal? Pour certaines personnes le normal, c'est la moyenne. Oui, mais les fluctuations autour de la moyenne sont également normales. Si nous vivons de temps à autre un hiver froid ou un été chaud, on parle tout de suite de “conditions extrêmes” - mais non, c’est tout à fait normal. On trouve bien toujours quelque part un “temps extrême”. Regardez le passé avec du bon sens, sans être expert climatique, et vous allez le constater. Je suis surpris que les journalistes et le public le remarquent si peu. Evidemment on a besoin d’experts, mais on a beaucoup plus besoin de bon sens et de réflexion critique ». Ah, la réflexion critique, où est-elle passée avec ces affirmations portée par nos dirigeants, épaulés par quelques scientifiques (et lobbyistes…), et où se trouve le doute alors même que l’on affirme ce qui se produira dans cinquante ans, et que l’on est incapable d’avoir une prévision précise à quelques jours ?

Tiens, justement, ce week-end du premier février (2015) connaît quelques perturbations – euphémisme – sur nos massifs montagneux. Nous avons enfin la révélation de l’existence des réfugiés climatiques, que l’on devrait plutôt nommer les « victimes des aléas météorologiques ». Mais curieusement, la presse reste silencieuse sur le caractère de cet aléa, qui devait en réalité disparaître avec le « réchauffement climatique »…  Certains météorologiste autoproclamés vont même jusqu’à affirmer que cinquante années en arrière, le phénomène aurait été beaucoup plus grave ! Voici la citation parue ce jour sur le site  Météo60[2], alors que l’auteur évoque la situation météorologique : « Cela fait en tout cas pas mal de passages de précipitations qui se sont produites sous forme de pluie alors que s'il y avait eu 1 ou 2 °C de moins nous aurions eu de la neige. A partir de là on peut clairement se poser une question : si cette situation s'était produite il y a 50 ans avec une température moyenne globale un peu plus basse, le réchauffement climatique étant passé par là, aurions-nous eu un véritable épisode neigeux? Les "anciens" font souvent état de situations ressemblant à celle-ci par le passé, évoquant des quantités de neige notables. On pourrait en débattre longtemps, nous n'aurions jamais la réponse mais on peut en tout cas faire des suppositions ». Effectivement ce ne sont que des suppositions … infondées. Car la notion de « température moyenne » ne joue pas sur de si faibles valeurs dans les phénomènes météorologiques : en supposant un réchauffement de 0,7 °C sur un siècle, cela représente 0,35 °C pour 50 ans … pas suffisant pour étayer le raisonnement !

 

Bodifée continue : « Le malaise qui touche la climatologie ne lui est pas propre. Presque tous les scientifiques sont aujourd’hui pieds et poings liés à des institutions, et à des fonds sans lesquels ils ne peuvent fonctionner. Ils doivent publier. Or, on n'a plus accès aux revues scientifiques si on ne participe pas à la pensée prédominante. Donc il faut un énorme courage. Mais il y a des personnes qui se libèrent du système. En général ce sont des gens en fin de carrière, ils peuvent parler plus librement ». Malgré cela, les médias, les politiques ne cessent d’affirmer « qu’il y a consensus sur le sujet du réchauffement climatique » ; il est vrai que si l’on musèle les « opposants », on peut considérer qu’il existe un consensus … mais cela porte un autre nom !

 

Pour l’astrophysicien, le CO2 n’est pas responsable de l’effet de serre sur notre planète. Il s’appuie sur sa connaissance de Mars, où l’atmosphère contient 95 % de CO2 (0,03 % sur la Terre). Pourtant la température de Mars est de – 60 °C. Il en conclut que l’effet de serre lié au CO2 est donc négligeable sur cette planète, et qu’il en est de même sur le Terre où le premier gaz à effet de serre est la vapeur d’eau.

 

Gérard Bodifée fait donc partie de la multitude de scientifiques qui peuvent apporter  une opinion fondée sur l’Affaire climatique. Car il n’est pas nécessaire d’être un spécialiste du climat pour pouvoir démontrer qu’une théorie scientifique, telle l’effet de serre et son impact sur le réchauffement global, n’est pas fondée. Mais de là à faire infléchir la Pensée unique sur le climat, il faudrait peut-être qu’une coalition de scientifiques puisse exiger que soient apportées les éléments scientifiques qui étayent les affirmations sur le réchauffement global.

 

C’est par ailleurs ce travail que cherche à faire un mathématicien français, Benoît Rittaud[3], avec notamment les courbes de températures de météo-France, qui, comme il a pu le démontrer, sont quelque peu « arrangées » pour aller dans le sens de l’indiscutable réchauffement. Encore un scientifique « indésirable » dans la sphère de l’écologiquement incorrect !

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