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L'AFFAIRE CLIMATIQUE, une Vérité citoyenne sur le climat
4 janvier 2015

Un gouvernement courageux !

De plus en plus de gouvernements étrangers s'interrogent sur la pertinence des méfaits supposés du CO2. Jusque là, l'Australie comptait parmis les plus forts défenseurs des "plans climat", et pourtant, en 2013 s'est produit un évènement improbalbe.

Nous le rapportons ici, traduit en français, mais vous pourrez découvrir le texte original sur le site de Jo Nova :

http://joannenova.com.au/2013/09/australian-government-scraps-climate-commission/

 

Septembre 2013. Certains pays commencent à prendre conscience de cette grande arnaque. L’Australie, pourtant jadis « en pointe » dans le soutien au carbocentrisme, vient de supprimer sa Commission du climat.

Son (ancien) directeur, Tim Flannery, se trouve désormais au chômage, alors que son travail de 3 jours par semaine lui rapportait 180 000 dollars par an. Un travail bien particulier, puisqu’il était agent de vente pour le « changement climatique », il participait donc au marché du Carbone.

Ce même Flannery avait en 2011 comparé les «négationnistes du changement climatique » à des « croyants de la terre plate », ce qui montre sa grande ouverture d’esprit, qui lui a certainement valu la dissolution de la commission et de sociétés annexes.

Les griefs du gouvernement de Tony Abott sont pertinents : la commission avait été créée par le premier ministre Julia Gillard en février 2011, avec comme objectif de fournir des informations fiables et faisant autorité en matière de changement climatique. Or, des dérives sont apparues, et l’analyse objective des faits n’a pas été traitée, alors que de lourds investissements publics ont été faits en vue de limiter l’impact Carbone de la Société Australienne. Ce sont plusieurs milliards qui étaient projetés, pour un objectif incertain et inutile, puisque dans le meilleur des cas, la réduction du CO2 aurait été dérisoire.

Le contribuable australien a donc été floué, et rendons hommage à ce gouvernement perspicace qui mériterait plus de déploiement médiatique pour cette action.

La Commission sur le climat aurait dû comme il lui était demandé, servir le public en lui faisant connaitre les limites des modèles, les prédictions échouées, les hypothèses infondées… A aucun moment il n’a été révélé que les énergies renouvelables réduisent rarement le CO2, ou bien que l’engagement de sommes exorbitantes ne permettrait pas de limiter les températures de façon significative.

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4 janvier 2015

Le bistrot du climat : un lieu où le débat sur le climat n'est pas censuré...

(billet réalisé par l'auteur pour le site de l’association Mémoire en Marensin)

 

Qui ne s'est pas questionné sur les relations possibles entre les phénomènes extrêmes et le "dérangement  du climat" ?
Tout jeune, je me souviens d'avoir maintes fois entendu « on n'a jamais vu ça» ; c'était le docteur de campagne qui venait de réchapper à un vague d'eau et de boue qui emporta également le pont sur lequel il venait de passer. Et puis, bien souvent à la moindre colère des cieux, le « jamais vu » revenait sur les langues.
C'est peut-être à ce moment-là que j'ai envisagé de mener une carrière à la météorologie nationale !
Dont acte, je me retrouvais dans les années 1976 à batailler pour accéder au sein de l'armée de l'air à la fonction d'observateur météorologiste.
Abrégeons (je reparlerai peut-être de certains "lobbys" qui m'ont amené à étudier d'autre aspects des sciences...)
La météorologie, c'est la mesure des paramètres affectant l'atmosphère ; mais est-ce une bonne représentation de l'état thermodynamique de cette atmosphère ? Sûrement pas. L'atmosphère ne peut être définie que par son volume et par sa "capacité thermique" autrement dit, ses caractéristiques météorologiques pour chaque couche qui la composent . Autrement dit ... Mission impossible !
Dans les années 1975, on parlait d'un dérèglement climatique qui allait conduire à un refroidissement de la Planète...  On attribuait alors la faute au progrès, à la bombe (je me souviens très précisément de l'expression "avec leur climat pourri, ils vont finir par nous détraquer la bombe"... à moins que ce ne soit le contraire ?).
Au passage, on se souviendra d'une vague d'objets volants non identifiés (OVNI), mais quel rapport avec notre affaire ? Ceci constitue une autre question !
Plus de dix ans après, on commence à parler de "réchauffement climatique" attribuant à tout phénomène extrême la responsabilité de l'Homme, du fait notamment des rejets de gaz carbonique ( CO2) qu'il envoie dans l'atmosphère ... Info ou intox ?
Certains esprits avisés signalent l'apparition d'une nouvelle pseudo-science, l'écologisme, amalgame d'écologie (science noble étudiant les relations entre les êtres vivants) et l'idéologie. Oui, on prend parti pour l'écologie, c'est devenu  un courant de pensée. Et parmi les vecteurs idéologiques, l'Homme prend une part de responsabilité dans la destruction de la Planète. Le Leitmotiv est lâché. L'homme détruit la planète, c'est une certitude, et rien ne peut désormais inverser la tendance, sauf à revenir à l'âge de Pierre...
Toutes ces prises de positions m'ont bien sûr avisé, et si j'ai dans un premier temps adhéré à la "pensée unique"  j'en suis vite venu à douter de la véracité des affirmations.

Tout d'abord, parce qu'un scientifique doit douter de ses affirmations, de ses démonstrations... Même si je ne suis pas scientifique, cette précaution me semble louable !
Ensuite parce que la réalité ne "collait" pas avec la théorie en vogue, qui affirmait que l'on allait assister à une hausse sans précédent des températures, du niveau de l'océan, etc. Le présidentiable Al Gore a joué dans ce jeu-là un rôle détestable.
Mais n'est-on pas allés plus loin en affirmant la relation "évidente" à 95% que l'augmentation du CO2 (gaz carbonique) était responsable d'une certain effet de serre, voire d'une effet de serre tout à fait certain ?
En gros, l'homme libère du gaz carbonique (ce qui est vrai, avec l'usage des produits pétroliers, qui en relâche d'importantes quantités).
Et ce gaz contribue à augmenter la température de la Terre. Or, nous sommes ici dans le domaine de l'affirmation gratuite, car on n'a jamais pu établir de pont entre les rejets anthropiques de CO2 et l'augmentation des températures.
La politique du catastrophisme ambiant venait de naître.
Et l'écologisme appuyait bien entendu la théorie, car dans ce domaine, toute catastrophe due à l'activité de l'Homme semble devenir de l'eau bénite !
Rien n'est avéré scientifiquement parlant. Personne ne peut aujourd'hui démontrer et affirmer qu'il existe un lien entre l'augmentation de la teneur en CO2 de l'atmosphère (qui est bien réelle) et l’augmentation des températures de la Planète.
Cette augmentation des températures suscite également des réactions : car, comment peut-on établir un bilan thermique de l'atmosphère, sachant que les mesures sont essentiellement terrestres (depuis peu satellitaires), et que l'on dispose d'un maillage insuffisant de stations météorologiques. En plus, le nombre de stations a diminué par rapport au passé, et leur qualité est sujette à controverse (pour faire simple, on avance une hausse des températures de 0,7 ° C en un siècle, alors que la précision de 70 % des stations est de l'ordre de 1° c…).
Bien entendu, notre propos ne consiste pas à fermer les yeux sur la pollution terrestre, qui est indéniable. Mais attachons-nous plutôt aux "vraies" pollutions, celles qui sont avérées, et qui contribuent à une dégradation de la qualité de la vie : qualité de l'eau, des sols des nappes superficielles, de l'atmosphère respirable,... Le CO2 quant à lui, n'est pas un danger pour l'Homme, pas plus que pour le Terre (il améliore la croissance des végétaux !).
Si on condamne les "pollueurs" au CO2, c'est-à-dire les citoyens entre autres, on ferme les yeux sur la pollution induite par l'agriculture (rejets de nitrates, phosphore, potassium, oligo - éléments, pesticides, antibiotiques, etc. dans les nappes superficielles), mais aussi par l'industrie (métaux lourds, microparticules...). A ce compte, facile d'accuser les automobilistes que nous sommes ! On oublie trop vite de nous proposer des solutions alternatives, sachant que l'électrique n'est pas nécessairement une solution. D'autres pistes semblent exister, mais elles restent confidentielles (magnéto-hydro-dynamique, moteur à hydrogène...), on se doute pourquoi : le lobby du nucléaire et du pétrole ont le dos solide !
Si vous écoutez et croyez dans l'information que l'on diffuse à longueur de journée à travers nos médias toujours plus performants, vous n'avez pas accès à la véracité de ces informations ; déformation, agencement, aménagement sont certainement les termes employés pour détourner l'information et la délivrer au tout-public.
Si vous croyez en l'hypothèse du "on n'a jamais vu ça", détrompez-vous ! Rien n'est plus subjectif que la conscience humaine modulée par l'information qui assène à tue-tête ce genre de discours catastrophiste.
C'est la tendance, il faut que l'Homme soit coupable, et comme par hasard, ce n'est pas l'Homme sociétal, mais le simple citoyen qui est visé, c'est à dire l'individu comme vous et moi : il est responsable de tous les maux, gaspille l'eau en se lavant les dents ou en se douchant, pollue, avec les déchets qu'il rejette après avoir fait ses "courses " dans une grand surface, multiplie les emballages, que ce soit pour les produits liquides (je me souviens d'une époque, où l'on consignait les bouteilles en verres !), les produits alimentaires, etc. Dernière invention à la mode, les capsules pour les cafetières "expresso", un procédé vanté par un acteur américain bien connu... Mais sait-on que ceci génère plus de 50 % de déchets en plus, et que cela coûte 30 à 60% plus cher pour  le consommateur ? Bien entendu, le consommateur doit acheter, on lui reprochera plus tard de faire partie des pollueurs !
Il est bien évident que les pollueurs, ce ne sont pas les citoyens, et qu'ils n'ont pas à se saigner pour chercher à protéger la Planète : leur effort est inutile (on conviendra que la position de principe est louable !). Mais c'est trop facile de désigner ainsi les coupables, qui en réalité n'ont aucune possibilité d'infléchir le problème de la pollution... Car qui propose des moteurs moins polluants ? Qui  conçoit des produits agroalimentaires emballés et sur-emballés ? Certainement pas le consommateur (sans parler de la qualité desdits produits agroalimentaires, qui ont des effets pernicieux sur la santé humaine) .
Si on jette l'opprobre sur les productions "bio", c'est bien que l'industrie agricole et agro-alimentaire ne peut pas œuvrer avec ces "modèles'" non normés. Le bio, c'est un investissement moins important sur le mécanique et le chimique, avec un rendement plus faible (mais une qualité nutritionnelle incomparable). En gros, moins de frais au départ, moins de rendement à l'arrivée, mais malgré tout une possibilité de bénéfice non négligeable. Ce système ne plait pas car il réduit la part de la mécanisation normée (l'industrie de la mécanisation est florissante) et il réduit à néant le lobby des pesticides et produits "phytosanitaires". En d'autres termes, c'est un pan de notre société qui s'effondre.

Tout ce que j'avance ici, la démonstration a été faite dans le livre "l'Affaire climatique", sources à l'appui, pour éviter que l'on puisse me reprocher d'avancer des théories non fondées.

L'AFFAIRE CLIMATIQUE, une Vérité citoyenne sur le climat
  • Le blog d'un citoyen avisé sur les réalités de l'Affaire climatique. Nous dit-on la Vérité sur le climat ? Ou plutôt, ne nous ment-on pas sur l'impact que pourrait avoir l'Homme sur le climat ? Pourquoi ?
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